La langue sumerienne de connait pas d'equivalent pour le mot 《 paysage》, lacune qui n'est guere surprenante puisque cette notion n'a ete ebauchee que tardivement. Le 《 paysage 》sumerien est compose d...La langue sumerienne de connait pas d'equivalent pour le mot 《 paysage》, lacune qui n'est guere surprenante puisque cette notion n'a ete ebauchee que tardivement. Le 《 paysage 》sumerien est compose d'une juxtaposition de differents espaces, souvent sans lien entre eux, sauvages, semi domestiques et domestiques, et qui presentent chacun des caracteristiques precises. De meme que la notion de paysage est inconnue des Sumeriens, de meme les descriptions de ces espaces naturels sont fort succinctes. Elles se limitent en effet soit a展开更多
The long accepted view that Quelques remarques sur la Chine que j'aytirées des conversations que j'ay eües avec Mr. Ouanges was written byMontesquieu was challenged by Benitez and Volpilhac-Auger. However,...The long accepted view that Quelques remarques sur la Chine que j'aytirées des conversations que j'ay eües avec Mr. Ouanges was written byMontesquieu was challenged by Benitez and Volpilhac-Auger. However,their arguments are either groundless or implausible. This article aimsat restoring the authorship to Montesquieu mainly by demonstrating thatthey had misinterpreted Huang, Montesquieu, and their relation; theywere unfamiliar with the Chinese language; and their arguments on theasterisks in the writing at issue lacked substantial evidence.展开更多
文摘La langue sumerienne de connait pas d'equivalent pour le mot 《 paysage》, lacune qui n'est guere surprenante puisque cette notion n'a ete ebauchee que tardivement. Le 《 paysage 》sumerien est compose d'une juxtaposition de differents espaces, souvent sans lien entre eux, sauvages, semi domestiques et domestiques, et qui presentent chacun des caracteristiques precises. De meme que la notion de paysage est inconnue des Sumeriens, de meme les descriptions de ces espaces naturels sont fort succinctes. Elles se limitent en effet soit a
文摘The long accepted view that Quelques remarques sur la Chine que j'aytirées des conversations que j'ay eües avec Mr. Ouanges was written byMontesquieu was challenged by Benitez and Volpilhac-Auger. However,their arguments are either groundless or implausible. This article aimsat restoring the authorship to Montesquieu mainly by demonstrating thatthey had misinterpreted Huang, Montesquieu, and their relation; theywere unfamiliar with the Chinese language; and their arguments on theasterisks in the writing at issue lacked substantial evidence.